Vous l'aurez compris, mon ordinateur remarche (ce n'est pas encore optimal mais le nécessaire vital pour lui est présent). Novembre arrive tantôt, la bonne ambiance règne toujours au 5760 Darlington entre voisins et voisines (merci les filles pour les cadeaux des chutes du Niagara, le ballon rond nous permet de nous défouler !). En ce lundi 29 octobre, joyeux anniversaire Jambe, voisin et presque coloc.
Les soirées du week end à la maison sont toujours festives : merci seb d'avoir ramené Alexandre, ton binôme québécois. Enfin un autochtone qui se mélange et nous apprend pleins de trucs ! Les sorties en ville nous font toujours découvrir des endroits agréables et conviviaux, des bars, des restaurants (un régal ces palourdes...). Le froid s'installe en laissant place quelques fois à un peu de redoux. Le Canadien s'est réveillé et enchaîne les victoires en marquant un nombre affolant de buts (regarder les matchs est devenu un réflexe).
Octobre se termine, la Toussaint est là mais cette année pas de nouveau PES... Voilà un réflexe qu'il fait bizarre de ne plus avoir. Entraînez-vous bien, prenez un peu d'avance... Entre nhl2008 et pes2008, le retour sera rude pour vous.
A nouveau merci à tous pour vos coms et vos mess, si on ne se revoit pas d'ici là joyeux Halloween. A touuuuuut'
Samedi 13 octobre : Go Habs Go !
De retour des USA, un peu dépaysé (par rapport à la France c'est certain, moins par rapport à Montréal), la réalité reprend vite le dessus : aujourd'hui on mange de l'anglais. Nous avons changé de bar français (L'barouf, qui a brûlé il y a 2 mois et qui est aménagé dans une sorte de salle municipale, regroupant 500 français chauds comme des marrons) et le spectacle a décidé de faire de même. Une défaite au pied, c'est moche. C'est pas ce soir qu'on mangera du rosbeef.
Frustrés par cette défaite, nous nous dirigeons au centre ville car ce soir c'est le premier match du Canadien à domicile, au centre Bell (plus de 21 000 places). Pour sauver la journée, nous décidons d'aller carrément assister au match (moyennant une place au marché noir à 70$ l'unité : il faut ce qu'il faut). Défaite 3-1 contre les Carolina Hurricanes... Malgré tout, c'était super sympa. Quelle émotion intense (notez l'ironie dans cette phrase) lors des hymnes américains et canadiens au début du match : des images de belles familles américaines et de merveilleux paysages sur l'écran géant accompagnés des paroles en karaoké...L'américanisme exacerbé à son paroxysme ! L'ambiance est moins bouillante que dans un stade de foot français (aucun fumigène aperçu dans la patinoire...) mais des hôtesses Molson (LA marque de bière) s'agitent à chaque arrêt de jeu pour faire bouger les gens et leur faire gagner des bières. Huet, le gardien français du Canadien, nous a régalés de quelques somptueuses parades devant le filet mais cela n'a pas suffit.
La saison ne fait que démarrer.
Frustrés par cette défaite, nous nous dirigeons au centre ville car ce soir c'est le premier match du Canadien à domicile, au centre Bell (plus de 21 000 places). Pour sauver la journée, nous décidons d'aller carrément assister au match (moyennant une place au marché noir à 70$ l'unité : il faut ce qu'il faut). Défaite 3-1 contre les Carolina Hurricanes... Malgré tout, c'était super sympa. Quelle émotion intense (notez l'ironie dans cette phrase) lors des hymnes américains et canadiens au début du match : des images de belles familles américaines et de merveilleux paysages sur l'écran géant accompagnés des paroles en karaoké...L'américanisme exacerbé à son paroxysme ! L'ambiance est moins bouillante que dans un stade de foot français (aucun fumigène aperçu dans la patinoire...) mais des hôtesses Molson (LA marque de bière) s'agitent à chaque arrêt de jeu pour faire bouger les gens et leur faire gagner des bières. Huet, le gardien français du Canadien, nous a régalés de quelques somptueuses parades devant le filet mais cela n'a pas suffit.
La saison ne fait que démarrer.
Lundi 8 au vendredi 12 octobre : New York City
Comment profiter un maximum de la semaine de relâche ? En allant 4 jours à New York ! Le road trip a commencé dimanche soir par un trajet nocturne en bus, accompagné de Clémich et de Nico, parés aussi pour l'aventure. 8h de route pour une arrivée lundi matin vers 6h en plein Times Square. La claque est immédiate : c'est gigantesque, ça brille de partout.
Comment résumer 4 jours à New York, ville qui ne dort jamais, si immense et vaste dans un si petit article ? Je pourrais vous parler du nombre hallucinant de kilomètres que nous avons parcourus à pied, de la forêt de buildings imposants faisant passer le centre ville de Montréal pour une minuscule bourgade, du trou béant laissé en pleine ville par Ground Zero, des musées, de la magie de Central Park lors d'un concert improvisé un soir du 9 octobre pour célébrer l'anniversaire de John Lennon, des publicités de Times Square, des fast-foods indénombrables, de Manhattan ou de Brooklyn by night, du bruit incessant dans les rues de cette mégalopole, des magasins tous plus grands et plus farfelus les uns que les autres... Je pourrais vous écrire tout cela mais ce genre d'histoires et d'anecdotes se partagent autour d'une bonne table avec vous et non pas derrière un petit écran. Vous avez certainement mieux à faire que de passer des heures sur ce site en plus !
Sachez que ça valait la peine de passer un quart d'heure à se faire questionner à la douane, marcher 2h sous la pluie en plein Brooklyn la nuit, faillir ne pas avoir d'auberge le premier soir ou encore dormir tant bien que mal pendant 8h dans un bus, à l'aller comme au retour.
New York est bel et bien comme on l'imagine : j'en ai pris plein les yeux.
Comment résumer 4 jours à New York, ville qui ne dort jamais, si immense et vaste dans un si petit article ? Je pourrais vous parler du nombre hallucinant de kilomètres que nous avons parcourus à pied, de la forêt de buildings imposants faisant passer le centre ville de Montréal pour une minuscule bourgade, du trou béant laissé en pleine ville par Ground Zero, des musées, de la magie de Central Park lors d'un concert improvisé un soir du 9 octobre pour célébrer l'anniversaire de John Lennon, des publicités de Times Square, des fast-foods indénombrables, de Manhattan ou de Brooklyn by night, du bruit incessant dans les rues de cette mégalopole, des magasins tous plus grands et plus farfelus les uns que les autres... Je pourrais vous écrire tout cela mais ce genre d'histoires et d'anecdotes se partagent autour d'une bonne table avec vous et non pas derrière un petit écran. Vous avez certainement mieux à faire que de passer des heures sur ce site en plus !
Sachez que ça valait la peine de passer un quart d'heure à se faire questionner à la douane, marcher 2h sous la pluie en plein Brooklyn la nuit, faillir ne pas avoir d'auberge le premier soir ou encore dormir tant bien que mal pendant 8h dans un bus, à l'aller comme au retour.
New York est bel et bien comme on l'imagine : j'en ai pris plein les yeux.
Samedi 6 Octobre : La France qui gagne !
C'est un samedi légèrement pluvieux qui accueille nos visiteurs venus des USA : Laure passe nous faire un petit coucou ce week end accompagnée d'un français, d'une suédoise et d'une italienne. L'après-midi est évidemment destinée en majeure partie au grand rendez-vous de ce week-end : le match de rugby contre les Blacks. Nous y assistons dans la rue, devant un bar français archi-plein (le Massilia) mais l'ambiance qui y règne ne nous fait regretter ni le déplacement, ni la diffusion en streaming, ni le prix du pastis (4$...).
C'est galvanisés par la magie de l'ovalie que nous rejoignons le centre ville et le Peel Pub. Ce soir le Canadien joue à Toronto pour un derby pas piqué des hannetons. Chaude ambiance mais défaite 4-3 à la mitraille (comprenez mort subite pendant les prolongations) à 14 secondes de la fin du match et donc de la fusillade (comprenez séance de tirs au but).
Journée pluvieuse mais tout de même ensoleillée par toutes ces émotions !
C'est galvanisés par la magie de l'ovalie que nous rejoignons le centre ville et le Peel Pub. Ce soir le Canadien joue à Toronto pour un derby pas piqué des hannetons. Chaude ambiance mais défaite 4-3 à la mitraille (comprenez mort subite pendant les prolongations) à 14 secondes de la fin du match et donc de la fusillade (comprenez séance de tirs au but).
Journée pluvieuse mais tout de même ensoleillée par toutes ces émotions !
Vendredi 5 octobre : La tête dans les étoiles...
Dernier jour de cours et demain la semaine de relâche commence. Ce soir, excursion au Planétarium pour s'aérer un peu l'esprit et admirer les étoiles. Le spectacle au programme s'intitule "L'univers exotique" et nous présente tous les mystères existants aux confins de l'univers. Fort intéressant et reposant... Cette séance nous permet aussi d'apprendre qu'ici la grande ourse se nomme le grand chaudron. Je ne sais pas de quel univers ils viennent, en tous cas ils ne sont vraiment pas comme nous...
Mardi 16 octobre : Le froid arrive...
C'est le froid qui commence à s'installer ici, non seulement dans les plaines mais aussi dans les coeurs, surtout celui de mon processeur ! Et oui quelle ne fut pas ma surprise, lors de mon retour de New York, de retrouver un écran bleu s'afficher promptement à l'allumage de mon ordinateur... Vous comprenez donc pourquoi les nouvelles se font rares sur mon blog mais tantôt la dite machine sera réparée et je pourrais vous raconter ma semaine de relâche, mes tribulations à New York, mes joies et mes peines autour de l'ovalie ou de la rondelle (comprenez le palet de hockey...).
Portez-vous bien et à très bientôt. Nico et moi vous embrassons.
Portez-vous bien et à très bientôt. Nico et moi vous embrassons.
Mardi 2 octobre : Un nouveau mois,...
...une nouvelle carte de métro. Espérons qu'il n'y en aura qu'une cette fois ! Oui, octobre pointe son nez. Octobre et son été indien (en ce moment il fait encore très bon la journée mais quelques pointes de fraîcheur se font parfois ressentir), octobre chanté par Francis :
Le vent fera craquer les branches
La brume viendra dans sa robe blanche
Y aura des feuilles partout
Couchées sur les cailloux
Octobre tiendra sa revanche...
Poésie française, quand tu nous tiens... Sinon mon rapport de stage a été rendu à temps (même pas une nuit blanche pour l'achever, pas marrant), j'ai eu mon premier McDo à 2h du mat', j'ai fait mon premier intra (exam de mi-session), rendu mon premier labo (tp), fait mes premiers pas en salle blanche. Qui a dit qu'on foutait rien à l'étranger ?
Petit retour sur le sondage : Nico remporte aisément ce sondage affectif ! J'avoue qu'il faut cotoyer Jumbalaya pour comprendre toute l'affection qu'il peut transmettre et découvrir cette chose indicible qui sort de son regard. Nico s'impose donc fort logiquement ; il a déjà vécu tant d'aventures et s'apprête à en vivre d'autres. A moi de trouver une nouvelle idée de question à vous poser...
Je vous souhaite une bonne nuit. Chaleureusement, à bientôt.
Le vent fera craquer les branches
La brume viendra dans sa robe blanche
Y aura des feuilles partout
Couchées sur les cailloux
Octobre tiendra sa revanche...
Poésie française, quand tu nous tiens... Sinon mon rapport de stage a été rendu à temps (même pas une nuit blanche pour l'achever, pas marrant), j'ai eu mon premier McDo à 2h du mat', j'ai fait mon premier intra (exam de mi-session), rendu mon premier labo (tp), fait mes premiers pas en salle blanche. Qui a dit qu'on foutait rien à l'étranger ?
Petit retour sur le sondage : Nico remporte aisément ce sondage affectif ! J'avoue qu'il faut cotoyer Jumbalaya pour comprendre toute l'affection qu'il peut transmettre et découvrir cette chose indicible qui sort de son regard. Nico s'impose donc fort logiquement ; il a déjà vécu tant d'aventures et s'apprête à en vivre d'autres. A moi de trouver une nouvelle idée de question à vous poser...
Je vous souhaite une bonne nuit. Chaleureusement, à bientôt.
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